+
de
2 100
enfants étrangers enfermés
en centre de rétention en 2020.
Depuis 2012, la France a été condamnée 8 fois par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour avoir enfermé
des familles avec enfants derrière les grilles des centres de rétention. L’enfermement des enfants dans ces centres
constitue un traitement inhumain et dégradant qui doit cesser. Malgré une promesse du gouvernement d'ouvrir le débat sur
la question de l'enfermement des enfants lors du vote de la loi asile immigration en 2018, cette pratique n'a jamais été
remise en cause en dépit de nombreuses condamnations.
Il est urgent que la France agisse et interdise l’enfermement des enfants derrière les barbelés de ces prisons qui ne
disent pas leur nom.
+
de
1 700
personnes étrangères mortes
sur le chemin de l’exil en 2020.
L’année dernière, 1760 personnes sont mortes aux portes de l’Europe au cours de leur migration, soit plus de 4 décès
par jour. Ces drames témoignent d’un durcissement de la règlementation en matière de politiques migratoires et de
renforcement des dispositifs de contrôle et de surveillance aux frontières, rendant leur franchissement toujours plus
difficile et accroissant les risques pour celles et ceux qui n’ont d’autre choix que d’emprunter ces routes.
Nos gouvernements européens doivent cesser de placer la protection des frontières avant la solidarité la plus
élémentaire !
+
de
400 000
personnes maintenues sans-papiers
par l’administration en 2020.
Conditions restrictives d’octroi d’un droit au séjour, arsenal de mesures d’expulsion et de bannissement qui ne sont en
réalité pas mises en œuvre, procédures administratives absurdes et arbitraires voire illégales, impossibilité de prendre
un rendez-vous en préfecture… Plusieurs centaines de milliers de personnes étrangères sont ainsi contraintes par
l’administration française à rester sans-papiers, privées de leurs droits fondamentaux tout en faisant fonctionner des
pans entiers de l’économie à moindre frais.
La régularisation s’impose pour ces femmes, hommes et enfants qui n’aspirent qu’à vivre paisiblement !
Chaque jour, ELLES·ILS RÉSISTENT
Découvrez les histoires de Zizou, Geneviève et Bchira.
Refuser l’invisibilité, déjouer les obstacles, continuer de travailler, tenir le coup, défendre des droits humains…
Autant de manières de résister face à l’intolérable pour Zizou, Geneviève et Bchira.
J’ai été traité
comme un criminel,
alors que je voulais
juste m’intégrer.
Alors qu’il était en train de travailler, Zizou, arrivé d’Egypte en 2015, a subi l’humiliation d’une arrestation car il n’avait pas de papiers. Enfermé en centre de rétention durant 45 jours, il témoigne.
Chaque jour, ELLES·ILS LUTTENT contre le mépris, la haine et l’intolérance.
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